Nigel Keay - Au puits de l’épervier
Opéra en un seul acte composé en 1991, durée : 52 minutes, d’après une pièce de William Butler Yeats. Avec 5 chanteurs et orchestre de chambre. |
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Extrait de 2ème Partie (Musique de Danse) Opéra en entier : |
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Instrumentation: Flûte, Alto Flûte, Clarinette, Clarinette basse, Basson, Cor, Trompette, Trombone, Piano, Percussion (jusqu'à 2 musiciens) & Cordes (4,4,3,3,1 recommandé avec violon solo électrique joué par un membre de l'orchestre), chœur de femmes (12-15 chanteuses), danseuse, et instruments du Gamelan indonesien pour étoffer les percussions (optionel). Partitions orchestrale L'opéra a été commissionné par l'École de musique de Nelson pour le 150ème anniversaire de Nelson. Il a été créé les 28 & 29 mars 1992 à l'école de musique de Nelson par l'Orchestre Symphonique de Nelson (Nelson Symphony Orchestra) avec Miranda Adams, Directrice Musicale. Les solistes étaient David Clark (ténor), Paul Densem (basse), Joanne Hodgson & Helen Bowater (mezzo-sopranos), & Ben Ayre (basse). |
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Au puits de l’épervier (At the Hawk's Well) Au puits de l’épervier est une adaptation opératique en un acte d’une pièce dramatique de Yeats, elle-même écrite sur le modèle d’un Noh japonais. La composition rituelle de l’opéra a pour but d’évoquer l’influence de ce modèle. La musique est parfois sombre et atmosphérique, puisant son inspiration dans le langage archaïque, les images poétiques angoissantes ainsi que dans le symbolisme archétypal et métaphysique du texte. Le langage musical est à la fois tonal et atonal, favorisant ainsi l’expression des idées littéraires. L’opéra est écrit pour 5 chanteurs, les rôles principaux allant au ténor, à la basse ainsi qu’à un danseur. L’accompagnement se compose d’un orchestre de chambre avec un piano, un violon solo électrique. On peut aussi y ajouter les instruments du gamelan. Les six rôles sur scène sont les suivants :
Les rôles principaux vont au vieil homme et au jeune homme, les trois musiciens sont des rôles secondaires. Pour la création, à Nelson, les percussions suivantes ont été utilisées : Ces trois derniers instruments sont optionnels et le Gong peut être remplacé par un grand tamtam. Ces percussions peuvent être jouées sur scène par les trois musiciens ou être incluses dans l’orchestre selon l’interprétation du directeur musical et du metteur en scène. Pour la première à Nelson, les musiciens ont seulement chanté, mais la partition leur permet de jouer également. Costumes et décor : Pour la création à Nelson, seuls le vieil homme, le gardien et le jeune homme portaient des costumes élaborés. Le vieil homme était en haillons tandis que le jeune homme était vêtu d’un costume royal. Le décor sur scène était dénudé et minimal, mais l’éclairage était particulièrement important. Des tas de feuilles séchées posées sur des escaliers apportaient des contours intéressants. Full Score (extrait) - Part 3, pages 1-6 PDF Full Score (extrait) - 4 page PDF of Final Song Nigel Keay's At the Hawk's Well is also performable as a cantata in a concert version.
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Full review published in the Nelson Evening Mail on March 30, 1992: At the Hawk's Well opera impressive At the Hawk’s Well, opera by Nigel Keay. World premiere performance, Saturday March 28, Nelson School of Music. Reviewed by Martin Lodge. |
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